L'ACADIE & LE QUEBEC

   
   
   

IGNATUS OUVRE BOITES

   

COIN ! COIN !

 
                                                 
                                 

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REVUE DE PRESSE, SPECIALES DEDICACES ET MOTS D'ARTISTES

 

       

 

Comme à la radio

Les ateliers d'écriture

Revue de presse

Pour m'écrire

 

   

 

SPECIALES DEDICACES

A toi qui fut une de mes premières lectrices, voici enfin le résultat fini. Affectueusement, Brigitte Sifaoui. Dédicace à propos de son récit de vie "L'homme qui a tué mon frère" Albin Michel 2005

Pour Thézame qui saura déjouer tous les pièges que recèle ce non-livre... Avec l'amitié de.. Marcel Benabou, écrivain oulipien, ami de Georges Perec. Dédicace de son livre "Pourquoi je n'ai écrit aucun de mes livres" PUF 2002

Pour Thézame, une danseuse à coup sûr, en attendant de la voir dans son propre conte ! Kriss, écrivain, sage femme de radio et productrice à France Inter. Dédicace de son livre «Les femmes dansent» Lattès 2001

A Thézame. En remerciement de ces jolies contraintes qui ouvrent les possibles... Emma Baus, auteur et journaliste. Dédicace de son ouvrage "Boris Vian. Un jour, il y aura autre chose que le jour"

"Les paroles sont à la pensée ce que l'or est au diamant, nécessaires pour les exposer. Mais il en faut peu..." Conseil-citation amicale d'Hubert Thébault, responsable de l'unité de création radiophonque de Radio France.

Entre Amélie Fontaine et Brigitte Poulain «Tu crois toujours que je ne m’intéresse pas à ce que tu écris… c’est pas vrai ! D’ailleurs, je peux même te dire que tu es la seule à savoir faire le le grand écart entre Amélie Fontaine et Brigitte Poulain. »
DJ Carlito, octobre 2004

       

 

Interview de Thézame dans le Guide du chanteur (cousin du célèbre guide du comédien) par Lise Bouilly publié aux éditions le Puits fleuri

Les ateliers d’écriture
L’interview de Thézame, auteur de chansons et de textes poétiques (Bahasabé, Dikès - et Mon Côté Punk -, Lola Baï, Squaw, Vishten, Fayo, Ouvre-boîtes avec Ignatus) et animatrice d’ateliers d’écriture, au Studio des Variétés puis au sein de sa propre structure : la Maison du Passage, à Paris. Elle intervient aussi avec Ignatus dans des festivals et tremplins de musiques actuelles ("Les rencontres chanson" d'ARCADI, Jemmapes, Zebrock...). En 2006, la Maison du passage lance "Debout les mots !", un concours/rencontres d'auteurs de textes faits pour être dits et chantés. Site Internet : http://www.lamaisondupassage.com

Qui fréquente les ateliers d’écriture de la Maison du Passage ?
Tous les profils sont bienvenus. Cela va de l’amateur qui aime l'écriture et la chanson, au professionnel, chanteur ou compositeur pour qui le travail d’écriture n'est pas toujours évident, en passant par l’auteur qui souhaite se renouveler. Je ne fais pas de distinction entre les un(e)s et les autres. Chacun peut écrire à partir du moment où l’envie est présente.

Quel est précisément l’intérêt d’un atelier d’écriture ?
Le groupe ! C'est la richesse de l'écriture en atelier. Le groupe d'écriture est un "miroir" dont se saisit l'auteur, comme un danseur, une danseuse qui capte son reflet dans la glace pour corriger ses mouvements. Après la phase d'écriture, les textes "restitués" en public, lus, chantés à haute voix, suscitent des réactions. Acteurs et spectateurs, on apprend à se "regarder" sous des angles nouveaux (et sans jugement !). On affine son style sans pour autant se fondre au groupe ou se "marcher sur les pieds" (encore une histoire de danse !). C'est souvent sur la générosité, l'inventivité, l'écoute de la personne qui accompagne le groupe que repose la qualité des échanges mutuels. Ce qui fait de nous des auteurs accoucheur(se)s de mots, d'émotions et d'idées, plutôt que des "profs" ou des "formateurs".

Concrètement, comment s’organise un atelier ?
L'atelier s’organise autour de jeux d'écriture et d'observation souvent inspirés des oulipiens que j'ai eu la chance de rencontrer. J'en fais ma sauce personnelle et je m'adapte aux "respirations" du groupe. J’aime bien les jeux à formes dites "fixes” qui consistent à écrire un texte suivant des mots, des sons imposés, des structures littéraires ou musicales ou des thèmes donnés ("le temps qu'il fait/le temps qui passe", "paroles de rue", "odeurs et saveurs". J'aime aussi les jeux "à procédure” qui offrent des formes et des contraintes moins cérébrales. On écrit en marchant, ou assis à la terrasse d'un café, ou les yeux fermés, se laissant porter par une musique. On privilégie alors un travail d'observation sensorielle, émotionnelle... Ces divers jeux et contraintes, en réalité "libératoires", nous guident sur des chemins de création que l’on aurait pas empruntés via l'écriture solo. Mais en atelier, on ne fait pas qu'écrire ! On écoute aussi beaucoup de chansons selon un rituel très apprécié des participants.

N’y-a-t-il pas là un risque de “formatage” de la création ?
Non, au contraire ! Les gens viennent avec ce qu’ils sont déjà : leur culture, leurs idées, leurs envies. Les jeux d’écriture ne font que réactiver les ressources créatives de chacun. D’ailleurs, avec les mêmes contraintes, on obtient toujours des textes très différents ! Quant à moi, encore une fois, je ne “forme” pas, j’accompagne, je montre un chemin, j’encourage, tout en restant disponible pour répondre à des demandes précises. Chacun et chacune est libre d'en faire l'usage de son choix.

Quelle est votre définition d’une chanson réussie ?
Une chanson est une maison à trois piliers : un texte, une musique, une interprétation. La "densité" du texte est importante (car il faut dire un maximum de choses avec un minimum de mots !) et "distribuer du sens". D'abord : une “sensation” grâce des mots, des sons qui s'entrechoquent, provoquent des émotions, une poésie. Ensuite : une "direction", des indications. Et enfin : une "signification" qui raconte une histoire, éclaire un message, réunit (ou sépare...) des gens autour d'une idée force. De même, sous sa forme la plus basique, "le refrain", à la plus originale, le "motif", la caractère répétitif du texte l'inscrira au rang de la chanson. A tout ça, j'ajouterai le "contexte". Une chanson ne tient vraiment debout que lorsqu'elle colle à une réalité sociale et émotionnelle forte. "Lili Marlène" serait restée une simple chanson d'amour (et c'est déjà pas mal !) si la voix de Marlène Dietrich n'avait pas traversé deux peuples en guerre, réunis par le même désir de paix.

Vous écrivez aussi pour des artistes : comment travaillez-vous ?
Ca commence toujours par une rencontre humaine. J'ai commencé à écrire pour le groupe Bahasabé et je ne pensais pas écrire pour d’autres artistes, comme Dikès ou Mon côté Punk. Je n'ai pas besoin de connaître la vie intime d’un(e) artiste pour lui écrire une chanson, mais de quelque chose qui me touche en elle, en lui : l'humeur du moment, une musique, une conviction profonde, un sourire, une blessure ou une envie de dépasser tout ça. Si un texte ou un mot est refusé. Pas grave. La matière d'un texte n'est jamais perdue : un jour ou l'autre, elle refait surface... De toutes façons !

Comment vivez-vous la collaboration avec un compositeur ?
Forcément ça fait avancer ! Car les musiciens, chanteurs et chanteuses parlent "sonorité, métrique, interprétation", si importants pour réussir une chanson. Je pense à Vanessa Caracci (Squaw) et ses rythmiques de mots peu ordinaires, ou à Lola Baï qui fabrique en amont des mélodies au piano toutes douces... et qui devient un chat sauvage sur scène ! Au fil du temps et des interprétations, apparaissent des clés que je n'avais pas envisagées au départ et démontrent que le "sens" d'une chanson ne se résume pas à l'écriture du texte. Autre exemple : en promenant ma voix dans "Ouvre-boites", virée poétique où m'ont emmené Ignatus et son piano, j'ai alimenté de nouvelles façons d'écrire. Et de nouvelles envies..

.*Les oulipiens désignent les participants à l’Oulipo, OUvroir de LIttérature POtentielle, créé en 1960 par Raymond Queneau et François Le Lionnais. Unissant à l’origine écrivains, poètes et mathématiciens, l’Oulipo réexplore les potentialités de la littérature en assemblant les lettres et les mots selon des structures et des contraintes nouvelles.

FAYO 2006

«Pour vous prouver que je peux parler français, j'vais vous chanter une chanson écrite par Thézame, une amie française qui est une belle femme mais qui en plus écrit bien !!! En route pour "Elle et lui", la toune à Thézame.. ». Fayo, les Nuits acadiennes 23 mars 2006

C'est en avril prochain que les fans du découvriront un tout nouveau côté de Fayo avec un premier extrait de son nouvel album diffusé sur les radios canadiennes. "Je suis fidèle à moi-même, mais je dirais que les textes sont beaucoup plus matures et qu’il y a une bonne évolution au niveau de la musique. C’est encore Fayo, mais il a poussé", dit-il. Pour cet album entièrement acoustique, Fayo a eu recours à la contribution de Juliette Solal, instructeure de voix pour La Nouvelle Star en France, de Christian Bordarier de la maison de disque française Wagram et côté plume à Thézame, une amie auteure. L’album est une réalisation de Jac Gautreau. Presse canadienne février 2006

Nuits Acadiennes à Paris. Météores à Douai. Cap sur la relève artistique. Deux événements musicaux ont récemment mis les projetcteurs une relève acadienne qui tente de trouver ses marques sur le marché français. Les 5èmes Nuist acadiennes à Paris et Les 10èmes Météores à Douai confiment l'émergence d'une nouvelle génération d'auteurs-compositeurs-interprètes. (...) Folk encore avec Mario leblanc alias Fayo, dont le nouvel album attendu avec impatience, bénéficie des conseils avertis de Christian Bordarier (Wagram) et de la collaboration avec des auteurs dont la française Nathalie Doutreleau alias Thézame. Cette animatrice d'ateliers d'écriture écrit aussi pour Dikès-Mon Côté Punk, Squaw, Bahasabé ou Lola Baî sans oublier Vishten. Côté présence scènique, Fayo a acquis en quelques années aisance et maturité. (...) Albert Weber DNA/chorus

«Je suis allée sur ton site et j'y suis restée longtemps... Parce que que j'ai rencontré une belle écriture, un vrai auteur... pas un auteur autoproclamé..." Juliette Solal (auteur, compositeur, coach d'artistes)

SQUAW – 2004/2006 (ex LÔ)

« T’écris trop bien ! Mais des fois, je comprends pas tout… Tu sais comment je suis, je veux toujours tout comprendre ! En même temps quand elle est abstraite ta poésie, elle me parle, peut-être davantage...» Vanessa Caracci – SQUAW –

« Toujours aussi poétique et… touchant ! Et dans toutes les langues !
Karim Hamida – SQUAW et No Bluff Sound, mars 2005

« J’aime bien tes textes parce qu’ils suscitent l’imaginaire et qu’ils sont faussement simples. » Jérôme Sallenave – SQUAW et No Bluff Sound - 2004

VISHTEN - 2005/2006

« C’est vraiment beau comment tu écris… Et puis ça sonne bien. Mais surtout, c’est beau, trop beau. Ca donne vraiment envie de travailler avec toi ! » Emmanuelle et Pastelle Leblanc, Pascal Miousse de Vishten – janvier 2005

LOLA BAI - 2001/2006

"Ma" Thézame est une personne rare. Elle a un talent incroyable qui n'a d'égal que sa personnalité. Loin de les cacher, elle les offre généreusement, sans arrière pensée à qui veut bien lire ou écouter. Mais Thézame n'écrase pas, elle distille son talent autour d'elle et sublime celui des autres ! J'espère travailler avec toi encore longtemps et te souhaite tout le bonheur possible que tu mérites assurément. Merci pour TOUT ! Lola Baï, janvier 2005

« Je t'ai vue dans la salle, mais je ne savais pas pour quel artiste tu avais écrit. Quand j'ai entendu "Chabada", la chanson de Lola Baï... Même sans signature, j’ai reconnu ton texte… Il est simpl, en tout cas apparemment et efficace. Et je sais à quel point c’est difficile de faire simple ! » Claude Lemesle, août 2003 - Prix Sacem encouragement remis par Claude Lemesle et Michel Rivegauche. (La foule - Piaf)

« Bravo ! Vraiment...» Michel Rive gauche, août 2003

OUEST FRANCE - LOLA AU MICRO
« Lola Baï, c’est d’abord une voix. Zazie rajeunie, Jeanne Cherhal plus fragile, moin sûr d’elle. Un timbre envoûtant, naturel, spontané, à l’image de la belle métisse, qui évoque les thème de ses chansons –enfa,ce sombre ou sensualité pudique – avec un large sourire, comme pur cacher sa timidité, sa sensibilté. « Pour moi, le smélodie sont un langage. Elles traduisent ce que j’ia au fond de moi, c’est très personnel », confie Lola qui compose au piano et à la voix : « je laisse aller mes doigts, je cha,te la la la. » Le bla, bla, bla ? Une poésie limpide te maline, signée Thézame, fine plume rencontrée au festival Le Mans Cité Chanson. » Jérôme Lourdais - Extrait d’un grand article dans Ouest France
« Internet et chanson : Lola au micro » – 18 février 2005

DIKES - MON COTE PUNK - 2003/2005

« Thézame, un jour sa caravane a croisé la mienne… C’est pas seulement un très bon auteur, c’est une amie, c’est une grande sœur…» Dikès 2004

« J’aime beaucoup « Mon herbe tendre », c’est vraiment une belle chanson.
Florent Vintrignier - La rue Kétanou - 2004

«Quand on écrit un texte comme « le petit linge », impossible de ne pas être « quelqu’un de bien ». Mourad Musset - La rue Kétanou/Mon côté Punk - 2004

OUEST FRANCE - DIKES DE CHAMPAGNE, BREL DE L'ATLAS
« Dikès a des chansons comme son sourire : larges et ouvertes, chaleureuses et ensoleillées, cadeau ! La vie ne lui a pas fait de cadeau, mais n’a pas eu son sourire. Juste laissé de sa gravité sur sa voix, rocailleuse, blessée, pansée, exceptionnelle et très Brel (...) Sa musique : un Atlas chevauché de chameaux du désert et de chevaux de Camargue où se croisent des caravanes touarègues et des roulottes manouches, les Négresses Vertes et les Négresses blanches d’Arthur H, Jacques Brel et Bob Marley allant aux noces d’une reine andalouse et d’un prince du raï. Au coin de la rue Ketanou et « de l’univers qui est à nous », il y a aussi Tom Novembre en été, Dick Annergan en Espagne. « C’est une jam, une confiture poétique. Une musique de voyage et de gens du voyage. » Dikès a arrêté sa caravane à Nantes, à la Bouche d’Air, pour créer son prochain spectacle. Jean Brizais, qui soutint Jeanne Cherhal, a accueuilli le projet avec enthousiasme. Gageons que le migrateur ira plus loin que les multiples prix révélations remportés à ce jour. Que celui qui ne parlait pas français il y a dix ans trouvera sa place dans la caravane* de la chanson française. »
* titre d’une de ses chansons phares « Les dieux de la caravane », signée Thézame/Dikès
Véronique Escolano - Extrait de « Dikès de champagne, Brel de l’Atlas » - Ouest France janvier 2004

RENCONTRE AVEC UN CHANTEUR BAROUDEUR « C’est Florent Vintrigner de la « Rue Ketanou » qui m’a écrit ma première chanson. Comme lui, comme eux, je viens du théâtre : le théâtre du fil qui est une magnifique école où l’on apprend beaucoup. Au théâtre comme en chanson, quand une chose est essentielle, authentique, elle n’a pas d’autre choix que de faire surface. Et j’aime ça ! J’aime la musique, mais j’aime aussi les bons textes quelle que soit la langue dans laquelle je chante, l’arabe ou le français. J’ai eu le chance de rencontrer de très bon auteurs, Florent d’abord, mais aussi Stéphane Cadet, Alain Leprest, Pierre André et dernièrement Thézame (Nathalie Doutreleau) (…) Dans le nouvel album, vous retrouverez des titres comme « Les oiseaux du voyage* », « les dieux de la caravane », « mon herbe tendre »

*qui figure sur le CD 2 titres enregistré avec « Debout sur le zinc » et Matthias Duplessis. Extrait du journal du Scarabée « Rencontre avec un chanteur-baroudeur » - déc. 2003

Wed, 12 Nov 2003. Hello, Tout va bien. Beaucoup de travail. Le réalisation du film de 2 heures 10 sur Julien Clerc qui est passé il y a 15 jours sur France 3 m'a absorbé durant 6 mois avec en parallèle les soucis des Francos. Là c'est l'heure d'imaginer la grille de programmation pour notre 20ème édition. Passionnant comme cela doit l'être de travailler pour Dikès. Bises Didier (Varrod)

DOMINIK LAROSE- 2005

« Déjà ! Tu es incroyable, tu es vraiment l’auteur qui écrit plus vite que son ombre ! J’aimerais bien savoir comment tu fais pour me toucher, pour tomber aussi… « juste » ? » Dominik La Rose - Janvier 2005

BAHASABE - 1998/2002

«Nous avons la chance d’être servis par de merveilleux auteurs : James Sadras, Docteur Luc, Arnaud Vernet et… Thézame ». Serena Fisseau, Bahasabé (Prix Sacem Le Mans Cité Chanson 2001)

« Thézame a une belle écriture, sensible, colorée, généreuse »
Marie-Ange Fortin, Fortin Editions, 2004

«Des gens qui écrivent comme toi Thézame, il y en a peu, continue !» Mai 2000

PORTRAITS SENSIBLES - KRISS FRANCE INTER - mai 2002 "Des yeux bleus qui vous regardent entre sourire et rêve, Thézame a les pieds bien sur terre et la tête dans l’imaginaire Devient-elle ce qu’elle voulait devenir ? Quelque chose comme « artiste ». Quand on lui demande maintenant qu’elle est présidente du festival du Printemps des Rues et qu’elle écrit des chansons notamment pour le groupe Bahasabé : est-ce que vous êtes une artiste ? » Elle répond : « J’ai longtemps écrit seule et attendu avant de faire de vraies rencontres. Les artistes que j’ai rencontrés ont été des « passeurs » qui m’ont permis de mieux me connaître et de mieux créer. Et aussi de me rendre compte que je pouvais être une artiste moi-aussi. Mais j’ai encore du mal à le dire… Comme ces choses trop intimes qu’on n’arrive pas à dire de soi… »
Une sagesse de Thézame pour la route : «Ne demande pas ton chemin, tu risquerais de ne pas te perdre… La vie est comme un voyage … Pour moi, c’est important de perdre, de se perdre de temps en temps (rires) parce ce que sinon on manque d’ailleurs et d’infini. » Rendez-vous dans 10 ans ! Kriss France Inter – Extraits et résumé de Portraits sensibles - mai 2002

OUEST FRANCE - « La valse des aiguilles, interprétée par le groupe Bahasabé a remporté les suffrages de la catégorie « chansons d’amour ». Sensible et mélodieux, un titre qui reste dans les têtes. »

REPUBLIQUE DU CENTRE - Les textes portugais, français ou espagnol des chansons de Bahasabé forment un puzzle chatoyant de rythme et d’émotions. Un groupe qui puise sa force dans le métissage des cultures. Extrait La république du centre août 2002

       

 

VOIR AUSSI LES NTERVIEWS RADIOPHONIQUES (cf "COMME A LA RADIO")

OUVRE-BOITE(S) Thézame/Ignatus - 2005/2006

«Vignettes poétiques. Votre serviteur accompagne au piano des textes, de Thézame.» Ignatus

«C'est agréable à écouter, Prévert... ça fait très radio, écriture sonore, elle (Thézame) a une jolie voix, parfois un peu conteuse pour enfant... Bref, intéressant comme boulot.» Isabelle Dhordain (France Inter).

«J'ai adoré tes histoires de boîtes... Bises. François. (François Petit Samarabalouf)

OUVRE-BOITES : UNE ATMOSPHERE FRAICHE, DE CONFIDENCE OU DE JOURNAL INTIME

Par Gilbert LAFAILLE

J'ai été très intéressé par ces "petites histoires poétiques sorties d'une boîte à chaussures" : j'aime bien ce côté léger, cette atmosphère fraîche de confidence ou de journal intime. il y a quelque chose de cinématographique dans le résultat de ces textes dits sur piano improvisé, quelque chose d'un peu Marguerite Duras Carlos d'Alessio (India Song). L'ensemble (que j'ai écouté d'une traite) est très prenant et apaisant : j'ai passé un moment très agréable (...) Mon préféré ? "Boule à Zero".

LES CHANSONS : UN TON, UN STYLE OU L'AIR CIRCULE ET LE SENS SE BALADE

J'ai également beaucoup apprécié les textes de chansons proprement dites (y-en a-t-il des "salement" dites ?) Vous avez incontestablement un ton, un style. ce que j'aime chez vous, c'est ce côté ouvert, l'air circule, le sens se balade un peu, les choses ne sont pas figées. On sent beaucoup de générosité : ce n'est pas de la création étriquée, repliée sur elle-même, souffreteuse, c'est jeté, affirmé, vivant, dans l'instant (mais pas baclé pour autant). Mes préférées ? Personne ne me demande rien, je sais, mais je le dis quand même ) : Terrassée au café - Bahasa - Dunia - Tatoo - J'aime te faire le jour - Trop malheureux - Namasté - Chabada et Bouche tabou.

«Mamallapuram » Thézame/Ignatus
Ton Mamallapuram, on dirait du Mercedes Soza. Tu devrais écouter «Alfonsina y el mar » - Nathalie Bentolila (Nadjeli, Les infatigables navigateurs)

«Dans les arbres» Thézame/Ignatus
Chapi Chapo bas Nathalie pleine de poésie.. Pascal Fousset, novembre 2004

« Boites aux lettres »
« Tes boîtes, on dirait du Vian… jette un œil, tu verras ! » Dandy O, mars 2005

OUVRE-BOITES : VOUS REPRENDREZ BIEN QUELQUES DOUCEURS ?

Par Fréd LEVAN

D'abord comme un effleurement, un chatouillis, - mais il n'y a pas que le rire dans la vie - qui se fait caresse appuyée aux oreilles. Une berceuse du matin. Avec sauts de cabri, filez les moutons ! On ne dort pas. On reste. On s'agite. Les sourires tirent vers le haut. Sur quel pied danser, écoutez, c'est comme vous soulez. Vous pouvez très bien rester couché.

On se promène au bord de la mer. Comme dans la chanson de Jonasz, ou celle de Monsieur Hulot, on ramasserait des bulots. On ferait des bulles, haut. A savonner le ciel de nos rêves. Et sur la plage, que trouvez-vous ? Un petit crabe, un ballon ? Un couteau ? Maman, papa, toute la famille à boire. Un château de sable qui ne s'effritera jamais, jamais. Un arbre planté.

Des amours. Thézame ne chante pas !? Deux petites notes et puis s'en vas - n'importe à côté, on dirait. On dirait que ce serait comme on voudrait. On dirait qu'on divaguerait gentiment et qu'à la septième respiration on sauterait sur la planche et ce serait reparti.

Visez-moi donc ça ! La latitude, qu'est-ce que ça change, la la ? De la baie de Somme - on s'envole, on tangue, on s'immerge, on rejoint la berge d'un nouveau départ, on déballe ses bagages - au Bengale, se jouer des pinces et des mandibules, et toujours la même attitude - la douceur. Des jours, des flots. Des sons. Des mélodies qui font leur vie.

Voix espiègle ou songeuse. Pour une moitié d'ange, un demi-envol, une danse un peu bancale, un peu bizarre, l'amour total ? Ce qui marche ne brille pas toujours. Une petite musique discrète qui illumine deux coeurs - au secret. Entendons-nous - comme on écouterait pousser les arbres, comme on s'échapperait du cercle de nos petits vélos, adieu les vieux sillons, bonjour les horizons nouveaux.

Jamais d'amertume, il n'y a pas qu'un ciel par dessus les toits. Et par dessous toi, par-devers nous, qu'est-ce qui nous poursuit ? Passés, revenus d'ici et de là. D'un bord à l'autre. Au rivage incertain, attention aux madeleines, toucher avec les yeux mouillés, sous le vent un souffle d'avant, le parfum des toujours enfermés dans des écrins de velours effrangés.

Mais comment faire ? Comme ça. Un sourire face à la vie. Soleil ou pluie. On en pince universelle pour le monde entier. Un joli cabinet de curiosités. Rien à jeter. Tout à prendre, grands yeux ! C'est tous les jours Noël. Et on se débrouille comme on peut. Avec ça, l'enfance, le temps. Qu'il nous reste.
La joie et le pincement. S'embrasser. Tout seuls, où sommes-nous ? Qu'allons-nous faire de nos deux mains ?

Suffit la peine. On repart ailleurs, hier en bandoulière, demain fait signe. Engageant le chemin. On chuchote : passage délicat. On rigole : retombe sur ses pattes, douze vies dans la boîte.Au moins.

Vous reprendrez bien quelques douceurs ?

 




 

 
             

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