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Profession
auteur
Le
livre des chansons
Contes
et romans
Comme
des images |
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Comme
à la radio
Les
ateliers d'écriture
Revue
de presse
Pour
m'écrire |
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GWEN
HA DU
Thézame/Lola Baï
Copyright 2005

NAMASTé
Thézame/Lola Baï
Copyright 2002

LOLA
Thézame/Lola Baï - Copyright 2002

AU
CLAIR DE LA TERRE
Thézame/Lola Baï Copyright 2002

LA
LIQUEUR d'ESPAGNE
Thézame/Lola Baï
Copyright 2004
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Visitez
le site : www.lolabai.com
"Lola
Baï, c’est d’abord une voix. Zazie rajeunie, Jeanne Cherhal
plus fragile, moins sûre d’elle. Un timbre envoûtant,
naturel, spontané, à l’image de la belle métisse,
qui évoque les thème sde ses chansons –enfance sombre
ou sensualité pudique – avec un large sourire, comme pur
cacher sa timidité, sa sensibilté. Pour moi, les mélodies
sont un langage. Elles traduisent ce que j’ai au fond de moi, c’est
personnel , confie Lola qui compose au piano et à la voix
: Je laisse aller mes doigts, je chante la la la. Le bla bla
bla ? Une poésie limpide et maline, signée Thézame,
fine plume rencontrée au festival
Le Mans Cité Chanson."
Jérôme
Lourdais - Extrait d’un grand article dans Ouest France «
Internet et chanson : Lola au micro » – 18 février
2005
Elodie
Le bail (Lola Baï) : composition, chant
David Lefeuvre (Didi) : piano, composition et arrangements
Thomas Plès (du groupe Kreposuk) : guitare et arrangements
Thomas Derouineau (du groupe zephyrologies) : percussions
Et
Thézame pour les textes :
Gwen
Ha Du, Namasté, Chabada, Au clair de la terre, Lola, La lueur de
l'allée, La liqueur d'espagne, Frida Kahlo, Je me souviens d'Eleanor,
La belle et la chaise (Poussez les chaises), Je suis revenue, Les madeleines
de Satie.
Lola
pour "Mon homme."
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CHABADA
!
Thézame/Lola Baï Copyright 2002

JE
SUIS REVENUE
Thézame/Lola Baï
Copyright 2004

FRIDA
KAHLO
Thézame/Lola Baï
Copyright 2004

JE
ME SOUVIENS D'ELEANOR
Thézame/Lola Baï
Copyright 2003

LA
BELLE ET LA CHAISE
Thézame/Lola Baï
Copyright 2003
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GWENN
HA DU
Gwenn
Ha Du porte à la bouche
Un calice sorti en douce de la ville d’Ys
Gwenn Ha Du porte un echo dans le cœur de son château
Et puis et puis, quand elle s’ennuie, elle va sur l’eau
Parmi les fées ivres d’air et de mer et de pluie.
Dans
ta robe noire et blanche
Gwenn Ha Du, tu portes chance
A celles et ceux QUI SONT NéS comme nous
Les cœurs noirs à peau blanche
Gwenn Ha Du, merci beaucoup
Au nom du vent qui nous tient debout !
Gwenn
Ha Du, porte à l’oreille
Une chanson bien plus vieille qu’elle, loin de Lorient.
Gwenn Ha Du, porte un enfant aux yeux noirs dans ses draps blancs.
Et puis et puis quand elle sourit, ils vont sur l’eau
Parmi les fées ivres d’air et de mer et de pluie…
Dans ta robe noire et blanche
Gwenn Ha Du, tu portes chance
A celles et ceux QUI SONT NéS comme nous
Les cœurs noirs à peau blanche
Gwenn Ha Du, merci beaucoup
Au nom du vent qui nous tient/debout !
Gwenn
Ha Du porte un drapeau.
L’as-tu vue monter là-haut ? Sur les rochers ?
Gwenn Ha Du porte à la terre un message…
L’as tu vue faire ? L’amour à l’heure…
Où la mort meurt ? Sous les bateaux…
Parmi les fées ivres d’air et de mer et de pluie…
Dans
ta robe noire et blanche
Gwenn Ha Du, tu portes chance
A celles et ceux QUI S’EN VONTcomme nous
Les cœurs noirs à peau blanche
Gwenn Ha Du, merci beaucoup
Au nom du vent qui nous tient debout !
Debout !
Dans
ta robe noire et blanche
Gwenn Ha Du, tu portes chance
A celles et ceux QUI SONT NéS comme nous
Les cœurs noirs à peau blanche
Gwenn Ha Du, merci beaucoup
Au nom du vent qui nous tient debout !
Thézame/Lola
Baï - Copyright 2005 N. Doutreleau/E. Le Bail - Paris, le 2 novembre
2005
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NAMASTE
!
C'est grâce
à Bahasabé que j’ai rencontré Lola Baï
au Mans Cité Chanson. En quelle année déjà
? Je ne sais plus ! J’ai l’impression que je la connais depuis
toujours… Dans certains cas, « toujours », ça
fait « longtemps»… Dans d’autrescas, c’est
juste pour souligner que ça compte vraiment. A la veille d’un
voyage en Inde, Lola me fit un beau cadeau, comme souvent : des
musiques composées « par ses petits doigts potelés
» et chantées par «sa voix fluette» (c’est
ce qu’elle dit !) Parmi les «lala de Lola », il
y avait une ambiance étrange de musique de film onirique. C’est
pour ça que cette chanson a des allures de court-métrage.
C’est devenu «Namasté », un salut, un bonjour,
un voyage, un toujours distendu… une réconciliation, un panthéon,
une nuit au soleil.
Sous
la pleine lune à paraître,
Sarasvati danse un serpent sur les reins…
Brahma n'est pas plus dieu ni maître…
De son désir de soie et d'encens indien…
Shiva ouvre l'œil intérieur.
Parvati prie les fleurs,
De bien vouloir s'approcher de l'entrée…
Ganesh ne se prend pas la tête…
Jamais rien ne l'arrête…
Et le spectacle va pouvoir commencer…
Durga
paraît en pleine lumière !
L'amour suprême envahit tous les humains !
Et bientôt Vishnou en concert…
Joue pour que les hommes soient égaux à la fin…
Les tablas tremblent de chaleur…
Un violon prie mon cœur…
De bien vouloir s'approcher de la paix..
Kali a quitté la fête…Si la musique s'arrête…
Cent fois, j'entendrai le vent murmurer
Un mot secret…
Sacré… Sucré…
Namasté
chant du soleil, Namaste le réveil !
C'est pour toi ce riz, ce dal au curry !
Et la poudre rouge pudja !
Bienvenue, c'est pour toi !
Souviens-toi quand on se retrouvera…
Dans une autre plus belle vie…
Où tout comme aujourd'hui,
Je saluerai tes vertus pour qu'elles soient…
Bénies des dieux et protégées…
Mes voeux… Je te transmets..
Chaque fois que je joins mes mains vers toi….
Même en secret…
Sacré... Namasté…
Namasté !
Thézame/Lola Baï - Copyright 2002 N. Doutreleau,
E. Le Bail - Panjim, Inde, novembre 2002
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LOLA
Lola
sortait des clous, un peu comme un journal
Planté entre deux choux.
Lola faisait la roue, les pieds dans les cigales,
la tête à Katmandou.
Lola aimait beaucoup les secrets dans les malles,
Les charmants méchants loups.
Lola dormait debout un peu comme un cheval
de trait,
Très mauvais goût.
Elle
se mêle de tous les feux qui s'allument
Mais c’est elle qui m’éclaire quand je me brûle…
Lola
cherchait des poux. Elle trouvait pas normal
Qu'on jette des cailloux aux
Lola d'un peu partout sans jamais prendre à mal
la mode de chez nous…
Lola voulait surtout rendre un peu moins bancale
La
table des tabous…
Lola
c’est jusqu’au bout du monde quand il va mal
Qu’elle ira malgré tout !
Lalalala….Lola
Lalalala… Lola !
Elle
se mêle de tous les feux qui s'allument
Mais c’est elle qui m’éclaire quand je me brûle…
Elle
se mêle de tous les feux qui s'allument
Mais c’est elle qui m’éclaire…
Tous droits réservés : Thézame/Lola Baï - Copyright
2004 N. Doutreleau/Elodie Le Bail
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AU CLAIR DE LA TERRE
Les
voici, les voilà ! Les fameux "lala de Lola"… Emmenés
en Inde au creux des chemins de mon oreille. J'ai écrit "
au clair de la terre " bringuebalée par la rumeur et la fumée
d'un bus défoncé… Quelque part entre Pondichéry
et Puttaparti. De quoi avoir le vertige ! Je l'ai à chaque fois
que je l'écoute.
Au clair de la terre, je pars,
Je me refais la belle, je ne sais pas encore
En quoi j’espère, je pars !
J’ai la fièvre du vent,
Je bois de tout mon corps la route qui renverse le décor.
La route qui revient de loin, j’adore…
La terre s’est déposée
Sur le dos rond d’une tortue
« Dessous », dit la tortue,
«Il y a mille tortues de plus… »
J’ai le vertige au sommet de l’échelle… universelle.
Au
clair de la terre, ce soir,
Je me refais la belle,
Je ne sais pas encore
En quoi j’espère…Je pars !
J’ai la fièvre du vent,
Je bois de tout mon corps la route qui renverse le décor.
La route qui revient de loin, j’adore…
Et le soleil d’orient
Sème la lune embrasée.
Les voyageurs du temps
M’emportent les yeux fermés.
J’ai le vertige au sommet de l’échelle…universelle.
Au
clair de la terre, je pars
Je me refais la belle,
Je ne sais pas encore
En quoi j’espère…Je pars !
J’ai la fièvre du vent,
La route qui renverse le décor…
La route qui revient de loin,j’adore…
Je croise le petit banc où l’amour danse l’été.
Voici le pont géant que ma vie vient traverser.
J’ai le vertige au sommet de l’échelle…universelle.
Au clair de la terre ! Je pars !
La
terre s’est déposée sur le dos rond d’une tortue…
Thézame/Lola
Baï - Copyright 2002 Nathalie Doutreleau/Elodie Le Bai - Puttaparti,
nov. 2002
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LA
LIQUEUR D'ESPAGNE (Faut J'y aille...)
Une
liqueur d'Espagne, un chemin de Compostelle.
Un soleil intérieur, un cadeau du ciel…
Faut
qu'j'aille me laver les dents ! Avant de rêver encore…
Où t'as mis ma brosse à dents ? Rends-la moi, sinon t'es
mort !
Un
train qui s'éloigne, un destin de sentinelle.
Une
marée intérieure, une statue de sel…
Faut
qu'j'aille me laver les dents… Avant de partir ailleurs !
Où t'as mis ma brosse à dents ? Rends-la moi, sinon tu meurs
!
FAUT
QU'J’Y AILLE ! C'est important… Avant de rêver trop
fort !
Où t'as mis mes rêves d'enfant ? Rends-les moi, sinon…
Je mords !"
Une
drôle de semaine… Tous les jours, les années courent.
Un espoir intérieur, une voie de secours...
Thézame/Lola
Baï - Copyright 2004 Nathalie Doutreleau/Elodie Le Bail - Paris,
le 15 avril 2004
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LES
MADELEINES DE SATIE (les madeleines du bord de l'an)
LTout
au bord de l'année. Tout au bord de l'antan.
Ne touchez à rien, le vide est plein de madeleines.
Tout au bord de l'année tout au bord de l'enfant.
Ne touchez à rien le vide est plein de madeleines.
Ca sent l’autre moitié, la belle orange…
J’avance les yeux fermés. J’attends mon ange…
Au premier souvenir derrière la glace,
Je saurai bien lui dire comme je… t’embrasse ! Je t'embrasse…
Tout
au bord du LA… Tout au bord du temps…
Ne touchez à rien ! Tout ira très bien !
Mon
ange arrive enfin : « Salut ! Mon ange ! »
Les fleurs du papier peint sourient… aux anges.
Ca sent l’autre côté, le bel étrange
«Demain, comment c’était ?
Dis-moi
mon ange ? »
Paris, juin 2001 - Tous droits réservés
: Thézame/Eric Satie
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CHABADA
!
(ou les faims qui recommencent…)
Trois
petites notes de musique et attention au départ ! C’est surtout
le gimmic musical de départ qui m’a guidé. Simple,
hypnotique. Et puis les notes suivantes, hésitantes… Peut-être,
peut-être pas… Qui laissent en bouche l’ombre
d’un espoir ou la lumière d’un doute… Sur la
jolie voix et les « la la » de Lola, ça donne parfois
des chabadas, voire des Chabada…Bada(s)....
Peut-être,
On s'emmènera dîner demain ?
Peut-être pas…
Peut-être
On choisira nos cartes… en vain ?
Peut-être pas…
Je caresse en bouche
le goût farouche
de toutes les faims qui recommencent…
Chabadabada..Dadada…
Chabadabada !
Chabadabada..Dadada… Chabadabada
!
Peut-être
D'entrée, on se choisira…
Peut-être pas…
Peut-être
Le plat nous résistera…
Peut-être pas…
Je vois sur ta bouche
Le goût farouche
De toutes les faims qui recommencent…
Chabadabada..Dadada…
Chabadabada !
Chabadabada... Dadada… Chabadabada !
Peut-être
On levera un tout dernier verre ?
Peut-être pas…
Peut-être,
On jettera nos manteaux d'hier ?
Peut-être pas…
Pour garder en bouche
le goût farouche
De toutes les faims qui recommencent…
Chabadabada..Dadada…
Chabadabada !
Chabadabada..Dadada… Chabadabada !
Peut-être,
on s'emmènera dîner demain ?
Peut-être pas…
Thézame/Lola
Baï - Copyright 2002 N. Doutreleau/E. Le Bail - Prix SACEM St Germain
D. en 2003 chanson saluée par Claude Lemesle et Michel Rivegauche
(La foule) - Paris août 2002
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JE
SUIS REVENUE
L'
AIR DE FAMILLE sur le quai d'en face
Et puis quelques traces, des pas de p'tite fille.
Mon gros sac est lourd mais PAPA m'attend,
Je suis de retour, j'ai pensé souvent
Que dans ma chaussure, il pouss'rait des roses,
Des wagons de roses au milieu des mûres.
Oui dans ma chaussure, il pouss'rait des roses,
Des wagons de roses...
Je
suis revenue. Je suis revenue. Je suis revenue.
Chemin
de traverse tout au bout du monde,
Je suis comme tout l'monde quand j'ai plus d'adresse.
Il n'y a plus d'endroit d'où je peux m'enfuir,
Je dois revenir, je n'ai pas le choix…
Fidèle à moi-même, fidèle à ma voix,
Fidèle à mes pas et à ceux que j'aime,
Fidèle à moi-même, fidèle à mes choix,
Fidèle à mes pas...
Je
suis revenue. Je suis revenue. Je suis revenue.
Maman m'a cueilli au fond du jardin
Des haricots fins et des radis gris.
J'éteins la télé, il y a des mots
Qui sont tellement beaux qu'on peut les toucher
Juste avec les yeux quand ils sont mouillés
Et même oublier qu'on a besoin d'eux,
Juste avec les yeux quand rien n'a changé
Et même oublier…
Je
suis revenue.
Thézame/Lola
Baï/David Lefeuvre – Copyright 2004 N. Doutreleau/E. Le Bail/D.
Lefeuvre - Paris, juin 2004
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FRIDA
KAHLO
De toiles en toiles, ma vie s’étale j’éclaire
ma chair, mon sang.
J’ai
mal… Ma douleur se change en fleurs et en désir d’enfant.
Dit
: “Ils pensaient que j’étais surréaliste.
Mais, je ne l’étais pas…
Je n’ai jamais peint de rêve… J’ai peint ma réalité."
"Je
suis seule à connaître la Frida que je porte en moi…
Elle pleure, elle a la fièvre, elle est en chaleur. Elle
est féroce ! Elle est pleine de désir… Pour un homme...
Pour une femme…”
De
toiles en toiles, ma vie s’étale, j'éclaire ma chair,
mon sang.
J’ai
mal… Ma couleur fleurit mon coeur qui n’a pas eu le temps…
Dit
: “Le choc de l’accident nous déporta vers l’avant”…
Et la main courante me traversa comme “l’épée
le taureau…
La jambe, le vagin, le dos...
“Mes
pieds ? Mes pieds ? Et pourquoi voudrais-je vous avoir ?
Si j’ai des ailes pour voler…”
"J’ai
passé trop de temps allongée dans un lit…
Plus jamais, je ne me coucherai ! Qu’on me brûle !
Même dans un cercueil, je ne veux plus jamais être couchée
!”
Plus
jamais être couchée…
Plus jamais !
Thézame/Lola Baï - Copyright 2004 N. Doutreleau/E.
Le Bai - Paris, le 1er novembre 2004.
Et Frida Kahlo (1907-1954)
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JE
M'SOUVIENS D'ELEANOR RIGBY
Je
m'souviens d'Eleanor Rigby, lonely…
qui ramassait du riz
Dans l'église où se marient les autres, tant d'autres...
Elle passe sa vie au carreau
A compter les heures, derrière ses p'ts pots d'fleurs…
Souviens-toi
d'Eleanor Rigby !
Souviens-toi d'Eleanor Rigby !
Souviens-toi
de No… whereman… in No… where land
qui fait l'or et la pluie,
Sans foi, ni loi, sans l'avis des autres, nous autres...
On passe nos vies au carreau…
Sans penser à rien, dans les trains du matin…
Souviens-toi
d'Eleanor Rigby !
Souviens-toi d'Eleanor Rigby !
Je
m'souviens "Here comes the sun, revo… lution".
Je te jure sur ma vie :
I'll never let you alone ! Toi l'autre, mon autre !
Décolle ta joue du carreau..
Je suis de retour ! Rien à faire que…
L'amour…
Souviens-toi
d'Eleanor Rigby !
Souviens-toi d'Eleanor Rigby !
Thézame/Lola Baï – Copyright
2004 Nathalie Doutreleau/Elodie Le Bail - Paris, juin 2004
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LA
BELLE ET LA CHAISE (Poussez les chaises !)
C'est UNE CHAISE vide, avec de la paille
Qu'on refit souvent, et qui grince un peu
Sur le plancher qui danse et qui baille
"Mais asseyez-vous" dit LA BELLE en entrant.
La chaise s'emplit, la belle me regarde,
Mais je n'suis personne, je me sens nerveux,
Le nez plancher, je reconte les pieds...
1 2 3 4, la belle va parler...
Quoi lui répondre quand elle parle toute seule
Et à voix si haute,
Que je me fends la gueule,
Puis je m'enroue secoué par cette femme
Tellement belle en larmes, je n'ris plus du tout
C'est à ma place que son homme s'asseyait,
C'est à cette même place, qu'il lui souriait,
Sûrement bien mieux que moi maintenant
Oui mais moi,
Moi, moi je suis vivant!
Lalalalalalalalalala
!
Poussez les chaises on va danser Madame !
Allez debout sur la table qui valse !
Poussez les chaises on va danser Madame !
Je te promets, il y aura de la place !
Poussez les chaises ! Poussez les chaises!
Tu sais ma belle dans ta tour
Il n’y a pas que du vide et du désert autour
Il y a un désir, un DESIR qui renverse TOUT !
Poussez les
chaises on va danser Madame !
Allez debout sur la table qui valse !
Poussez les chaises ! Poussez les chaises !
Poussez les chaises ! Poussez les chaises !
Thézame/Lola
Baï – Copyright 2003 N. Doutreleau/E. Le Bail |
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Ce
site est la propriété de Thézame (Nathalie Doutreleau).
Tous droits réservés. |
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